Emplettes



commentaires : un livre trouvé il y a plusieurs semaines et qu'on avait oublié. Il fait partie d'une collection des années 1920, des petits fascicules de 24 pages illustrés et parrainées par des "champions" de l'époque... La chose vaut surtout pour ses illustrations, même si les quelques exercices proposés ne doivent pas faire de mal...




Un projet auquel on réfléchit / travaille nous a mis entre les mains ce classique de la littérature de vampires, qu'on ne connaissait pas. Une petite merveille. 


Publiée en 1927, c'est la première biographie consacrée à Marcel Schwob, par un de ses amis qui édita par ailleurs ses oeuvres complètes chez François publiée, entre 1927 et 1930. On fêtait cette années le cent cinquantenaire de sa naissance de Schwob. 


Un volume qui rassemble des textes publiés ici et là par Léautaud entre et 1951. On retrouve d'ailleurs notamment un joli texte sur Marcel Schwob, paru peu après sa mort au Mercure de France, en 1905.  


Épuisé pendant des années, ce livre de 1985 a été réédité cette année chez Perrin.


On ignore s'il s'agit de fétichisme, mais on trouve assez émouvant de tomber ainsi sur le premier numéro d'une revue qui a eu son importance, à plus d'un titre. Beau sommaire, très sérieux, avec en final, la Gazette d'Adrienne Monnier qui introduit un peu de légèreté. Cette formule des Lettres Nouvelles a duré jusqu'en 1959, date à laquelle le rythme de parution de la revue est devenu hebdomadaire. Projet trop ambitieux, sans doute, puisqu'il n'y eut que 36 numéros, de mars à décembre, avant que les chose ne redeviennent mensuelles - jusqu'en 1977, année au cours de laquelle la revue s'arrêta définitivement. En 1966, Maurice Nadeau créa aussi La Quinzaine Littéraire, au rythme bi-mensuel. Parallèlement, il dirigea la collection Lettres Nouvelles, publiée par Julliard, Denoël, puis par Maurice Nadeau lui-même.



Il y a quelques années, on avait déjà trouvé ce livre, revendu à bon prix sur un site d'enchères. On va sans doute faire de même avec celui-ci.


On n'est pas vraiment un lecteur de Supervielle, mais on a pris les deux premiers parce qu'ils ont été publiés dans des collections qu'on collectionne vaguement, et le troisième parce qu'il y est question de Jules Laforgue, né comme Jules Supervielle à Montevideo - l'un en 1860, l'autre en 1884.  



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